En ces temps de confinement imposé mais nécessaire, il est compliqué pour les collaborateurs, managers et dirigeants de poursuivre une activité et de s'adapter à ces nouveaux modes de management et de travail contraints. Cela peut générer du stress, de l'anxiété voire des angoisses pour certains.
L’assertivité, la marque des vrais leaders.
Tout le monde a connu un jour dans sa vie de manager ce
sentiment de n’avoir pas été au niveau, de ne pas avoir su passer le message
aussi puissamment que ce qu’il aurait du être. Par peur de froisser l’autre et
de se voir débouter de sa demande, on glisse dans son message quelques petits
mots, totalement anodins que l’on pense salvateurs et qui permettront de "faire passer la pilule". En fait, ils vont avoir de terribles répercutions sur la compréhension de l’importance de notre demande. Je
les appelle les « altérations ».
La mutation du modèle managérial
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Au travers des missions que je
réalise dans les différentes entreprises pour lesquelles je travaille,
j’observe une mutation de la fonction managériale liée, notamment, à de
nouveaux modèles d’organisation, de nouvelles réglementations et de nouvelles
générations de collaborateurs. Ce qui n’est pas sans poser de difficultés pour
les managers et même pour les entreprises qui, souvent, subissent ce
changement.
La communication, une posture globale...
La communication n'est pas chose innée. Il y a quelques règles à respecter, ou tout du moins, à appréhender. Mais surtout il faut avoir une approche globale.
Loin de moi l'idée de vous présenter un inventaire à la Prevert, ou les techniques nécessaires à une prise de parole en public par exemple. Mais plutôt de vous proposer une posture en adoptant une approche plus globale et en mesurant l'importance d'une communication réussie dans un environnement professionnel et de bien comprendre que tout est histoire de posture !
La posture complexe du cadre dirigeant
En préambule je tiens à préciser que la notion de cadre dirigeant, dont nous allons parler ici, reflète celle des grands ensembles, essentiellement les grandes entreprises ou très grandes entreprises. Non pas que les plus petites entreprises ne nous intéressent pas ou ne sont pas concernées, mais simplement nous nous attachons à la forme la plus complexe, celle qui présente le spectre de posture le plus large.
GESTION DU STRESS
Mieux gérer son stress pour plus d’efficacité
et un mieux-être au travail
L’enquête CFE-CGC/Opinionway effectuée courant 2008 révélait une augmentation dans la perception du stress parmi les cadres. Ils jugent à 78% que leur charge de travail est plus lourde qu’il y a quelques années et à 66% qu’ils ont un temps insuffisant pour l’accomplir. Parmi les autres facteurs de stress, on note les interruptions de travail fréquentes (74%), l’inquiétude devant les conditions générales de leur situation professionnelle (55%), la confrontation à des clients agressifs, la mise en concurrence croissante avec leurs collègues (39%). Ils déclarent davantage de plaintes physiques qu’auparavant : tensions (70%), mal de dos (54%), maux de têtes, migraines… Et pour autant, ils ne sont que 16% à considérer que le stress est suffisamment pris en compte dans leur entreprise.
et un mieux-être au travail
L’enquête CFE-CGC/Opinionway effectuée courant 2008 révélait une augmentation dans la perception du stress parmi les cadres. Ils jugent à 78% que leur charge de travail est plus lourde qu’il y a quelques années et à 66% qu’ils ont un temps insuffisant pour l’accomplir. Parmi les autres facteurs de stress, on note les interruptions de travail fréquentes (74%), l’inquiétude devant les conditions générales de leur situation professionnelle (55%), la confrontation à des clients agressifs, la mise en concurrence croissante avec leurs collègues (39%). Ils déclarent davantage de plaintes physiques qu’auparavant : tensions (70%), mal de dos (54%), maux de têtes, migraines… Et pour autant, ils ne sont que 16% à considérer que le stress est suffisamment pris en compte dans leur entreprise.
Le coaching professionnel
Qu’est-ce que le coaching ?
Selon SFCoach, « le coaching professionnel est l’accompagnement de personnes ou d’équipes pour le développement de leurs potentiels et de leur savoir-faire dans le cadre d’objectifs professionnels ».
En France, le coaching en tant que mode d’accompagnement est arrivé au début des années 1990. Au départ, la clientèle était composée des hauts dirigeants, qui cherchaient ainsi à donner l’exemple à leurs collaborateurs ! Par la suite, d’autres catégories de salariés (cadres, employés) ont pu bénéficier du coaching. Tout salarié pouvant théoriquement obtenir une formation, tous peuvent accéder à un coaching.
Le coaching permet de répondre en un temps limité à des besoins essentiels. N’hésitez plus : à travers une relation dénuée de tout jugement, nous pouvons vous aider à trouver vos propres réponses, à choisir vous-mêmes vos objectifs et à dessiner votre chemin vers la réalisation d’objectifs que vous désirez atteindre ! Vous coacher, c’est vous accompagner dans la poursuite de vos propres objectifs.
Selon SFCoach, « le coaching professionnel est l’accompagnement de personnes ou d’équipes pour le développement de leurs potentiels et de leur savoir-faire dans le cadre d’objectifs professionnels ».
En France, le coaching en tant que mode d’accompagnement est arrivé au début des années 1990. Au départ, la clientèle était composée des hauts dirigeants, qui cherchaient ainsi à donner l’exemple à leurs collaborateurs ! Par la suite, d’autres catégories de salariés (cadres, employés) ont pu bénéficier du coaching. Tout salarié pouvant théoriquement obtenir une formation, tous peuvent accéder à un coaching.
Le coaching permet de répondre en un temps limité à des besoins essentiels. N’hésitez plus : à travers une relation dénuée de tout jugement, nous pouvons vous aider à trouver vos propres réponses, à choisir vous-mêmes vos objectifs et à dessiner votre chemin vers la réalisation d’objectifs que vous désirez atteindre ! Vous coacher, c’est vous accompagner dans la poursuite de vos propres objectifs.
Le dirigeant de demain ? L'inverse du profil actuel (Source : Les Echos)
Quelles qualités développer pour accéder au pouvoir demain ? L'association Grandes Ecoles au féminin (Gef), épaulée par Sociovision Cofremca, a mené une enquête auprès de 21 patrons et entrepreneurs et 4.200 diplômés de grandes écoles pour dessiner les contours de la future élite dirigeante. Une enquête qui donne lieu à un débat, ce soir, à la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, en présence de personnalités aussi diverses qu'Henri Giscard d'Estaing, (Club Méditerranée), la philosophe Cynthia Fleury ou encore Myriam Maestroni, la présidente d'Economie d'Energie.
Davantage d'éthique
Davantage d'éthique
La sortie de crise, ça se prépare !
Source : Les Echos
La « boîte à outils » traditionnelle de l’intelligence économique - supposée désormais maîtrisée - a été volontairement écartée par les organisateurs de la Journée d’intelligence économique pour privilégier la réflexion et faire ressortir des deux ateliers (« L’intelligence managériale et comportementale du dirigeant » et « La sécurité économique ...au-delà de la simple protection ») la nécessité d’arriver à une « intelligence économique à la Française » qui aurait valeur de modèle.
Il est apparu ainsi aux participants 4 recommandations majeures à suivre par les chefs d’entreprise.
La « boîte à outils » traditionnelle de l’intelligence économique - supposée désormais maîtrisée - a été volontairement écartée par les organisateurs de la Journée d’intelligence économique pour privilégier la réflexion et faire ressortir des deux ateliers (« L’intelligence managériale et comportementale du dirigeant » et « La sécurité économique ...au-delà de la simple protection ») la nécessité d’arriver à une « intelligence économique à la Française » qui aurait valeur de modèle.
Il est apparu ainsi aux participants 4 recommandations majeures à suivre par les chefs d’entreprise.
De la performance des dirigeants
Auteur : Éric Monnoyer pour "Les Echos"
La performance est au cœur de l’attention et de l’action des dirigeants. Cette performance est d’autant plus difficile à atteindre qu’elle n’est pas absolue, comme beaucoup le croient, mais relative par rapport à la compétition engendrée par les autres acteurs et sujette aux conditions générales du marché.
Dans l’environnement hautement dynamique que nous connaissons, le succès des entreprises est initié au départ à travers des décisions comportant un facteur de risque inhérent au niveau d’incertitude auquel sont confrontés leurs dirigeants, et à l’arrivée ce succès est partiellement façonné par des facteurs échappant au contrôle des dirigeants. Comme l’a très bien démontré Phil Rosenzweig dans son livre « The Halo Effect », la forte performance historique de certaines organisations engendre dans l’esprit des observateurs toute une série de conclusions infondées sur la qualité de son management, de ses produits, de sa culture, etc. Inversement la contre performance soudaine déclenche l’opprobre sur le manque d’innovation, les rigidités organisationnelles ou l’absence d’esprit compétitif.
La performance est au cœur de l’attention et de l’action des dirigeants. Cette performance est d’autant plus difficile à atteindre qu’elle n’est pas absolue, comme beaucoup le croient, mais relative par rapport à la compétition engendrée par les autres acteurs et sujette aux conditions générales du marché.
Dans l’environnement hautement dynamique que nous connaissons, le succès des entreprises est initié au départ à travers des décisions comportant un facteur de risque inhérent au niveau d’incertitude auquel sont confrontés leurs dirigeants, et à l’arrivée ce succès est partiellement façonné par des facteurs échappant au contrôle des dirigeants. Comme l’a très bien démontré Phil Rosenzweig dans son livre « The Halo Effect », la forte performance historique de certaines organisations engendre dans l’esprit des observateurs toute une série de conclusions infondées sur la qualité de son management, de ses produits, de sa culture, etc. Inversement la contre performance soudaine déclenche l’opprobre sur le manque d’innovation, les rigidités organisationnelles ou l’absence d’esprit compétitif.
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